« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Prier en temps pascal

Archimandrite Sophrony

Partagez :

Les offices liturgiques – 

Plusieurs personnes s’interrogent sur la façon de prier en temps pascal, c’est-à-dire jusqu’à la Pentecôte.

Le plus important est de participer aux offices de l’Église et d’écouter les textes du Pentecostaire, ce livre liturgique qui donne toutes les indications utiles pour ce temps. De dimanche en dimanche, les prières qui y sont contenues, commentent les évangiles successifs et nous préparent à la venue du saint Esprit.

Glorifier la Résurrection

Gardons autant que possible la joie de la Résurrection. C’est l’ascèse de la joie. Saluons-nous sans formalisme du « Christ est ressuscité ! » et glorifions continuellement le Christ ressuscité, en disant par exemple dans notre cœur continuellement : « gloire à ta sainte résurrection, Seigneur Jésus, gloire à toi ! » Gardons également allumée à l’église et à la maison la lumière de Pâques. Ornons ces lieux bénis de fleurs. Offrons jusqu’à l’Ascension les œufs colorés significatifs de Pâques.

La prière du Nom

La prière du cœur, ou dans le cœur, cette prière du Nom de Jésus, devient ainsi la glorification de la Résurrection qui ouvre la porte à la venue du saint Esprit. Toutefois, un ascète contemporain, saint Sophrone le Nouveau, quand nous l’avons interrogé, nous répondit, par son disciple le hiéromoine Syméon, que nous pouvions avoir continuellement sur les lèvres et dans le cœur cette prière : « Seigneur Jésus Christ notre Dieu, rends-nous dignes du don du saint Esprit ! »

L’épiclèse continuelle

De la sorte, nous comprenons que la prière est une épiclèse continuelle : nous demandons sans cesse l’esprit, soit au Père, dans la sainte Liturgie, soit, ici, au Fils. Ce n’est pas que le Fils soit la source de l’Esprit. Nous avons bien que le Père est la seule source et du Fils et de l’Esprit. Mais le Fils est le Donateur de l’Esprit du Père ; d’auprès du Père, Il envoie l’Esprit très saint et très bon à ceux qui mettent leur foi en lui.

a.p. Marc-Antoine