« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

A paraître : « L’Offrande du Fils », a.p. M.-A. Costa de Beauregard

couverture l'Offrande du Fils

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D’innombrables personnes se dévouent à ceux qui souffrent. C’est ce que font nos contemporains, qu’ils connaissent Dieu ou qu’ils ne le connaissent pas encore.

Tous les maux qui déchirent aujourd’hui l’humanité sont des occasions de manifester l’amour. Beaucoup en font l’expérience au chevet des malades, dans les prisons, dans les centres d’aide sociale ou sous les bombes et les séismes. Ils répondent ainsi à l’appel que fait résonner dans notre conscience l’amour divin qui veut se révéler.

Une lecture théologique de l’Histoire et de l’actualité montre que la Tête de ce déploiement d’amour dans le monde au cœur même de la souffrance est le Fils de Dieu, le Verbe, le Seigneur Jésus-Christ.

L’Offrande du Fils est précisément ce don de soi qu’accomplit le Verbe fait chair. Il fait de la souffrance humaine et cosmique le lieu de sa manifestation comme Amour en personne, surtout par le Sacrifice non sanglant de l’Eucharistie. L’amour qui préfère absolument autrui à soi est également celui qui anime la Vierge et Mère de Dieu.

Ce volume prolonge, après Le Sacrement de l’homme, la contemplation du mystère d’une souffrance qui, lorsqu’elle ne peut être évitée, peut être transfigurée par l’amour. Par sa présence dans la condition humaine, le Fils de Dieu, crucifié et ressuscité, se révèle comme son sens ultime. (page 4 de couverture)

Préface de Bertrand Vergely. Avec un inédit de l’a.p. Serge Boulgakov – Éditions Le Cerf, courant 2023.