« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Lettre pastorale pour la Pâque 2022

Le Métropolite Joseph (fête paroissiale)

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Le Christ est ressuscité !

L’amour inflétrissable et éternel de Dieu se révèle et se répand sur nous, dans nos coeurs et dans nos vies, une fois encore, en cette « fête des fêtes » que nous vivons aujourd’hui avec une grande intensité – la Résurrection du Christ, le Fils de Dieu.
L’amour de Jésus Christ pour l’homme, abondamment manifesté dans toutes ses souffrances et jusqu’à la Croix, a changé à jamais le cours de nos vies et l’a réorienté de la mort implacable à la résurrection, terrassant, par la Croix, la mort qui semblait pour toujours régner sur les vies de ceux qu’Il avait créés à Son image et à Sa ressemblance. La vie a triomphé ! Rien ni personne ne peut désormais plus nous séparer de l’amour de Dieu, ni trouble, ni détresse, ni persécution, ni aliénation, ni haine, ni faim, ni besoin corporel d’aucune sorte, ni
danger, ni glaive, ni guerre – comme nous en assure le saint Apôtre Paul1. Tous ont trouvé leur guérison en Celui qui a ôté tous ces fardeaux de nos épaules, tant spirituels que corporels, courbés que nous étions sous leur poids, possédés par la peur de la mort dont nous ne saurions nous accommoder.

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