« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Évangile du 5ème dimanche de Pâques: Jean 4, 5-42.

Samaritaine mosaique Ravenne

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Le dialogue paradisiaque – 

Loin de tout espace cultuel, le Verbe en personne rencontre la personne créée, près du signe éminent de la Tradition : le puits de Jacob. Le culte nouveau, de l’Esprit et du Verbe de Vérité, loin d’être en marge de l’expérience des anciens, s’y enracine. Il est fondé, non sur des rites mais sur le dialogue divino humain d’origine paradisiaque.

Le rite

Le rite le sanctionne et l’inscrit dans la conscience et le formule par des signes irremplaçables. Il est l’architecture du dialogue et de la rencontre. Le rite exprime notre amour comme celui du Seigneur pour nous.

(a.p. Marc-Antoine, Radio Notre-Dame, Lumière de l’Orthodoxie, 22 mai 2022)