« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

L’hôpital du Vésinet (Yvelines)

Hôpital du Vésinet

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L’ère industrielle

« Fleuron de l’architecture du Second Empire, l’hôpital du Vésinet est une des premières réalisations qui porte la marque de Napoléon III, avant même le Palais Garnier. L’histoire de ce lieu commence en 1855 (décret du 8 mars 1855), avec la création par Napoléon III de l’Asile Impérial, destiné à accueillir les ouvriers convalescents ou bien mutilés durant leur travail. En 1858 (décret du 28 août 1858), l’Empereur décide de changer la destination primitive de l’asile et de le réserver aux ouvrières convalescentes du département de la Seine car les hommes, eux, disposent de l’asile de Vincennes. Entre le 29 septembre 1859, date de son inauguration par le duc de Padoue, et 1866, près de 27 000 ouvrières sont accueillies dans l’établissement. Épuisées par le travail et la maladie, ces femmes sont prises en charge et remises sur pied.

De nos jours

« Un siècle et demi plus tard, l’hôpital du Vésinet poursuit sa mission, avec la même volonté de procurer aux patients un temps de pause, une parenthèse consacrée à la reconstruction du corps et quelquefois de l’esprit, avant le retour à la vie quotidienne.

Entre-temps, l’établissement traverse la Première Guerre mondiale en se transformant en hôpital militaire temporaire et accueille les blessés du Front.

Il connaître le même sort au début de la Deuxième Guerre mondiale avant d’être réquisitionné par les troupes d’occupation allemande en 1943 puis d’accueillir les troupes américaines lors de la libération de la ville.

En 1949 (décret du 6 juillet 1949)), place à l’Établissement National des Convalescents du Vésinet qui devient en 1981 Établissement Public Hospitalier Départemental sous le nom de Centre de Moyen Séjour pour Convalescence, Cure et Réadaptation du Vésinet. C’est le 8 avril 1993 que le Conseil d’Administration adopte le nom d’Hôpital Le Vésinet dont le budget de fonctionnement s’élève à environ 28 millions d’euros » […] – extrait du livret d’accueil.

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