« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Saint Grégoire Palamas – la page des enfants

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Grégoire est né à Constantinople en 1296. Ses parents, nobles d’Asie Mineure, se réfugièrent à Constantinople. Son père mourut peu de temps après sa naissance. C’est alors l’Empereur qui prit en charge son éducation et ses  études jusqu’à l’âge de vingt ans. Grégoire choisit de devenir moine.

Il se retira, vers 1316, au Mont Athos avec ses deux frères et devint durant trois ans le disciple de Nicodème.

Vers 1325, il fut obligé de fuir, en raison d’incursions de pirates turcs. Il résida durant quelques mois à Thessalonique où il fut ordonné prêtre en 1326. Il partit, accompagné de dix moines, fonder un ermitage à Berrhée (nord de la Grèce), où il suivit le style de vie des hésychastes (ceux qui disent la Prière du cœur), en consacrant cinq jours de la semaine à la prière pure dans la solitude et le samedi et le dimanche aux services liturgiques.

Vers 1331, il dût une nouvelle fois fuir à cause d’incursions, de Serbes cette fois. Grégoire retourna à la Sainte Montagne, à l’ermitage de Saint-Sabbas. C’est là qu’il commença à écrire ses premiers ouvrages. Un peu plus tard, il accepta la charge de supérieur d’un monastère. Grégoire fut consacré métropolite de Thessalonique en mai 1347.

Atteint d’une maladie, Grégoire mourut le 14 novembre 1359 et fut, en raison d’une vénération populaire constante, canonisé en 1368. La vénération des reliques du saint s’est perpétué jusqu’à aujourd’hui à Thessalonique. Dans l’Orthodoxie, une liturgie fait mémoire de lui le deuxième dimanche de Carême.

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