« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Jusqu’à quand ? Combien de temps ?

univers

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Jusqu’à quand me fuiras-tu ?

Jusqu’à quand m’éviteras-tu ?

Jusqu’à quand te rempliras-tu l’esprit de la vanité du monde ?

Jusqu’à quand me laisseras-tu de côté, me repoussant même en pensée ?

Jusqu’à quand frapperai-Je à ta porte ?

Dis-moi, bien aimé : jusqu’à quand ?

.

Je t’ai délivré des passions,

Je t’ai purifié dans le baptême,

Je t’ai offert une foi véritable, en te donnant le saint Credo :

Mais tu t’enfuis toujours loin de moi !

Cherche-moi, au moins d’une pensée !

Car, Moi, Je regarde tout le temps vers toi

Et je me demande : jusqu’à quand ?

.

C’est en vain que tu parles de moi,

En vain que tu peins mon icône,

En vain que tu prêches aux autres,

En vain que tu te fatigues :

Si tu ne me parles pas, dans le secret de la prière,

Tout est comme de la paille volant dans l’air, tout est en vain !

.

Pourquoi as-tu peur de converser avec moi ?

Crois-tu que Je te demanderai quelque chose ?

Sais-tu, toi, quelle est ma gloire dans les cieux ?

Sais-tu, toi, quelle est ma richesse ?

Je n’ai pas plus besoin de toi que d’une pointe d’aiguille !

.

EST-CE QUE TOUT NE M’APPARTIENT PAS ?

NE SUIS-JE PAS LE CREATEUR DE TOUT ?

Je t’attends dans la prière, pour te rassasier de grâce…

Autrement, tout est inutile, tout est vain !

Vas-y, mets-toi à la prière ; fuis ce qui ne sert à rien,

Et, dans les cieux, Je te montrerai  des lieux où tu ne fus jamais!

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