« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Conseils liturgiques

Office Eglise orthodoxe de Louveciennes

Partagez :

Le chant des Béatitudes –

Dans certaines paroisses, lors du chant des Béatitudes, on cherche à réintroduire l’usage de chanter (ou de lire) les tropaires* prescrits intercalés entre les derniers versets. Pour ce faire, on procède comme suit.

Les jours où est indiqué le chant des Béatitudes (dimanche, fête importante qui n’a pas ses antiennes propres, avant-fête ou clôture de fêtes, saint très vénéré…), on intercale entre les derniers versets des Béatitudes des tropaires. Ceux-ci sont au moins au nombre de 8, mais peuvent aller jusqu’à 12, les dimanches et lors des fêtes importantes ; ils peuvent être de 6 à 8, en semaine, compte tenu du fait que l’avant dernier tropaire est précédé de Gloire… et le dernier de et maintenant…

Ces tropaires sont pris dans l’Octoèque (office des huit tons) et sont indiqués à la suite des matines en fonction du ton de la semaine et du jour de la célébration, ou dans le canon de la fête ou du saint (Ménologe), et sont alors tirés habituellement des odes 3 et 6. Ils peuvent être soit lus, soit chantés sur le ton de l’Octoèque ou sur celui du canon dont sont tirés les tropaires.

Laudes du dimanche en occurrence avec avant-fête, après-fête ou clôture de la fête

Les jours d’avant et d’après-fête, les stichères (strophes) sont pris aux apostiches des matines du jour, y compris le stichère de Gloire…, avec leurs versets propres. Si l’on ne dispose que de l’office de la fête, on peut prendre les stichères de la fête aux laudes et les versets aux apostiches des vêpres.

Le jour de la clôture, on reprend les stichères de la fête, avec les versets indiqués aux apostiches des vêpres.

(notes concernant le typikon, dans Agenda 2016 de la Métropole Orthodoxe Roumaine d’Europe Occidentale et Méridionale)