« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Comment être plus conscients de la grâce et la conserver ?

St Siméon le théologien

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Une sainte lenteur –

Pour être plus conscients de la grâce, allons lentement à l’intérieur de nous-mêmes, arrêtons-nous intérieurement, savourons le bonheur de la grâce avec notre cœur et improvisons quelques paroles de louange pour donner forme à notre gratitude et à notre émerveillement.

La jouissance du cœur

L’esprit, ou l’intelligence, est très rapide. Le cœur est plus lent. Si nous suivons le rythme de celui-ci, nous goûterons plus facilement la grâce incréée, car il est lui-même l’organe de cette connaissance sensible. Pour l’intelligence ou l’esprit humain, la grâce est inconcevable. Pour le cœur, c’est différent : car il comprend en se laissant comprendre ; il saisit en se laissant saisir ; et il jouit agréablement de la présence du saint Esprit en sa grâce.

Encore et encore !

Certains saints ont comme méthode de demander encore et encore la grâce comme s’ils ne l’avaient pas reçue ! Ils ont raison car la grâce est incréé, elle est donc sans limite, sans mesure ni quantité et l’on peut la demander sans fin. C’est une façon de la faire demeurer. Ainsi faisait saint Siméon le Nouveau Théologien. Quand la grâce divine lui était donnée de façon perceptible, il répétait « Kyrie eleison ! » Il a toujours insisté sur le fait que le cœur humain ressent la grâce du saint Esprit.

Dire à Dieu qu’on est heureux

Une autre façon de conserver la grâce et de la savourer est de dire des prières ou des psaumes appropriés qui formulent le bonheur qu’on a d’être favorisé par le Seigneur… Tout de suite après avoir communié, disons le petit office d’action de grâce. Ou bien les cathismes d’action de grâce 19 et 20. Ne soyons pas passifs. Au contraire, activons-nous en disant au Seigneur combien Il est grand, combien Il est bon, combien nous l’aimons et combien nous sommes heureux de sa présence !

Purifiés par la sainte Communion

Il dépend encore de nous, en nous abstenant du péché, de conserver et de développer la grâce divine que nous avons reçue. Par la communion au Corps très pur et au Sang très précieux du Christ Dieu, tous nos péchés sont lavés ; notre homme intérieur est purifié. Il nous appartient de nous garder de retomber dans nos fautes et d’aller au contraire de l’avant. Si nous suivons le Christ par amour, la grâce qui nous habite fructifiera en nous et autour de nous.

(a.p. M.-A.) – 17/10/2021
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