« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Structure de la divine liturgie

Saint_Jean_Chrysostome_mosaique

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« Comme toutes les anciennes liturgies chrétiennes [la divine liturgie selon saint Jean Chrysostome] juxtapose deux types d’assemblées liturgique : la liturgie de la Parole et la liturgie de l’Eucharistie.

D’abord vient la liturgie de la Parole, centrée sur la double « parole » de l’homme s’adressant à Dieu et de Dieu s’adressant à l’homme. L’homme s’adresse à Dieu à travers les ‘litanies’, séries de demandes exprimées par le prêtre ou le diacre au nom de l’assemblée et entrecoupées de chants et de fragments bibliques (surtout de psaumes) et aussi par les prières dites ‘secrètes’ que fait le prêtre. La ‘petite entrée’ du prêtre avec le livre des évangiles indique déjà que cette partie de la liturgie converge avec la Parole divine écrite. De fait, après la prière de glorification de Dieu (‘trisagion’, répété trois fois), l’épître et l’évangile du jour sont lus et suivis ou non de l’homélie.

Puis commence la liturgie eucharistique. Le pain et le vin sont apportés à la sainte Table. C’est la ‘grande entrée’, suivie de la récitation du symbole de foi. Après cela le prêtre lit la grande prière eucharistique qui inclut l’action de grâces pour tous les dons divins, le rappel évangélique de l’institution du sacrement de la Cène du Seigneur, l’invocation du Saint-Esprit sur nous-mêmes et sur les éléments offerts ; cette longue prière, coupée par quelques intercessions et commémorations, culmine avec l’oraison dominicale (‘Notre Père…’).

La communion est alors distribuée aux fidèles.

La liturgie s’achève sur des intercessions et des bénédictions assez courtes. »

(Un moine de l’Église d’Orient, L’offrande liturgique, Paris, 1988)