« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Conseil liturgiques : L’ordre des tropaires

Liturgie Louveciennes

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Après la petite entrée, on chante les tropaires et les kondakia suivants:

En semaine :

  • Tropaire du jour de la semaine (chaque jour a une commémoration propre – lundi, les anges ; mardi, le Précurseur ; mercredi, la Croix et la Mère de Dieu ; jeudi, les apôtres et saint Nicolas ; vendredi, la Croix et la Mère de Dieu ; samedi tous les saints et parfois les défunts ; dimanche, la Résurrection. Ce tropaire du jour doit être chanté en premier. Il se trouve dans le recueil de l’Octoèque.
  • Tropaire des Ménées: le saint ou la fête du jour suivant le calendrier se trouvent dans le livre liturgique des Ménées ou Ménologe.

On chante tous les tropaires puis tous les kondakia; ces derniers sont conclus par “et maintenant…”, suivi du kondakion de la Mère de Dieu (“Protectrice intrépide des chrétiens” sauf dans certaines avant-fête).

Le dimanche l’ordre est le suivant:

– si l’église est dédiée à un saint ou une sainte: tropaire de la Résurrection selon le ton, de l’église et des Ménées; kondakia de la Résurrection et de l’église, Gloire…, des Ménées, Et maintenant… Protectrice…

– si le saint des Ménées a une vigile: on omet le tropaire et le kondakion de l’église en gardant l’ordre indiqué ci-dessus

– en avant ou après-fête: tropaire de la Résurrection, de l’avant-fête ou de la fête, de l’église et des Ménées; kondakia de la Résurrection, Gloire…, des Ménées, Et maintenant… de l’avant fête ou de la fête

– en occurrence avec une des 12 grandes fêtes:

  • fêtes du Seigneur: tropaire et kondakion de la fête uniquement (remplaçant donc tout autre tropaire)
  • fêtes de la Mère de Dieu: tropaire et kondakion de la Résurrection avant ceux de la fête

– si l’église est dédiée à la Mère de Dieu:

  • en occurrence avec un saint ou une sainte: tropaire de la Résurrection, de l’église, des Ménées; kondakia de la Résurrection, Gloire…, des Ménées, Et maintenant… de l’église
  • en avant ou après-fête: même ordre que pour une église dédiée à un saint, sauf si c’est une avant ou après-fête de la Mère de Dieu: dans ce cas, on omet le tropaire de l’église
  • en occurrence avec une des 12 fêtes: même ordre que pour une église dédiée à un saint

– si l’église est dédiée au Seigneur: le tropaire et le kondakion de l’église sont omis le dimanche

  • en occurrence avec un saint ou une sainte: tropaires de la Résurrection, des Ménées, kondakion de la Résurrection, Gloire…, des Ménées, Et maintenant…, Protectrice assurée…
  • en avant ou après-fête: tropaire de la Résurrection, de l’avant fête ou de la fête, des Ménées, kondakia de la Résurrection, Gloire…, des Ménées, Et maintenant… de l’avant ou après fête
  • en occurrence avec l’une des 12 grandes fêtes:même ordre que pour une église dédiée à un saint ou une sainte

L’ordo dominical varie donc selon les paroisses. Toutefois il est des éléments stables qui se retrouvent partout. Par exemple, le dernier kondakion, après Et maintenant…, concerne toujours la Mère de Dieu.

L’ordo, ou typikon, constitue une ordonnance harmonieuse, permettant de célébrer les uns avec les autres! Pour le détail de cette ordonnance, nous avons accès au Typikon de l’Église roumaine ou au Liturghier. Nous pouvons également demander à des personnes compétentes, pour éviter des choix arbitraires et entretenir le caractère pédagogique de l’ordo.