« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Comment garder la foi dans les moments difficiles quand personne ne peut apporter de l’aide?

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Ne pas se séparer du Christ –

[…] Il y a beaucoup de situations qui paraissent sans issue humaine et dans lesquelles nous nous sentons très seuls parce que personne ne semble nous comprendre. L’important est de se placer devant Dieu seul, c’est-à-dire le Christ, qui est Dieu fait Homme. Il n’a pas honte de nous et Il ne nous retire jamais son amour. Mais, tout en étant homme, Il est Dieu, et Dieu est souvent mystérieux, sa volonté est souvent incompréhensible, son comportement est quelquefois paradoxal. Pour des croyants comme vous, ce qui est important c’est de ne jamais nous laisser séparer du Christ, ni par le doute, ni par le découragement, ni par le désespoir.

L’épreuve et le chemin de foi

En effet, nous avons probablement rendez-vous avec lui exactement dans l’épreuve que nous traversons. C’est ici qu’Il nous attend pour nous révéler son amour. Une grave maladie est souvent un chemin spirituel pour la personne qui vit dans la foi. Mais ce chemin, nous le faisons principalement par la prière, en confiant tous nos soucis au Seigneur Jésus Christ.

Prière et sacrements

Cela concerne la prière très personnelle, solitaire même; et cela concerne la prière communautaire, la liturgie eucharistique, l’onction des malades, ces sacrements dans lesquels l’Église se manifeste autour de nous comme fraternité spirituelle intercédant avec nous pour nous et pour le monde. Ne négligeons pas non plus la confession. Souvent, des péchés non confessés et non pardonnés – les nôtres ou même ceux de notre famille – engendrent des pathologies de l’âme ou du corps. Or, la confession des péchés est une prière et un sacrement. Venez à l’église fréquemment pour participer aux sacrements. Dites chez vous les prières pour les malades que l’on trouve dans les livres de prière. Vous pouvez également, seule dans votre chambre, lire l’ensemble des psaumes en mettant tout votre cœur dans cette lecture.

Appliquer les commandements

Une autre action qui nous garde unis au Christ, au sein même de la maladie ou de toute autre épreuve, c’est l’application de ses commandements de vie. Dans l’épreuve, nous pouvons nous exercer à aimer notre prochain, à faire du bien aux personnes de notre entourage, à leur montrer de la patience et de l’amour, à cultiver l’humilité qui vient de Dieu. Relisons les Béatitudes et regardons si notre vie est agréable à Dieu; regardons si nous faisons la volonté du Christ dans la vie qu’Il nous donne; ne prenons jamais l’épreuve, en particulier la maladie, comme excuse pour ne pas faire la volonté de Dieu, parce que, précisément, le Seigneur attend de ses serviteurs qu’ils se montrent fidèles dans l’épreuve, comme le fut le bienheureux Job, qui est un exemple pour nous tous.

Garder la foi

Surtout gardez la foi. En effet, la perte de la foi ou son amoindrissement est un mal infiniment plus grave que n’importe quelle maladie corporelle. Une maladie corporelle peut conduire à la mort corporelle : celle-ci peut être un passage vers la vie éternelle. Mais l’absence de foi, la dégradation, la déformation ou l’affaiblissement de la foi, constituent une terrible maladie de l’âme, et elles conduisent à la mort spirituelle, qui est une séparation longue ou indéfinie du Seigneur et de la vie en lui. Redoutons de perdre la foi, car cela veut dire perdre la vie, peut-être à jamais.

Nous vous souhaitons beaucoup de courage et de fidélité au Seigneur. Celui-ci verra votre constance. Même s’Il ne choisit pas de vous donner pour le moment la guérison corporelle, Il vous accordera une grande paix de l’âme, peut-être une grande joie et une grande lumière intérieure. Vous rayonnerez sur votre entourage. […]