« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

S’aimer soi-même

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Un mauvais amour de soi –

Les saints Pères dénoncent un nuisible amour de soi. Celui-ci consiste à savourer les éloges, à se passer ses propres caprices, à ne rien se refuser, à entretenir des pensées nuisibles. Tu deviens l’enfant gâté de toi-même. L’amour de soi peut conduire à une auto idolâtrie. Il engendre souvent alors l’hostilité à l’égard d’autrui qui tarde à nous apprécier à notre juste valeur.

L’amour du prochain

Il est un bon amour de soi. Si tu aimes une personne, un animal ou même une plante, tu cherches ce qui est bon pour cette créature de Dieu. Je suis le plus proche prochain de moi-même. Comment montrer de l’amour pour ce prochain que je suis ? Comment l’aimer comme moi-même ? Comment l’aimer comme le Seigneur l’aime ? Comment ne pas aimer celui – moi-même – pour qui Dieu donne sa vie ?

Faire du bien à qui l’on aime

Si j’aime mon enfant ou mon prochain, je lui évite les aliments toxiques et les distractions futiles. Tout n’est pas bon pour lui, l’amour me le dit bien. Je chercherai à donner à mon prochain tout ce que je considère comme bon, comme agent de croissance et d’épanouissement. Dieu, qui est le Père par excellence, donne toujours à ses créatures ce qui est bon pour elles. Sois un père pour toi-même. Nourris de bonnes pensées, de bénédiction, par exemple.

Le juste amour de soi

Il en est de même pour soi. Si tu ne pries pas, tu ne t’aimes pas, car tu te prives de ce qui est bon. Donne au contraire au prochain que tu es pour toi-même la lecture, l’écoute ou la mémorisation de la Parole de Dieu ; la fréquentation des saints, en personne ou par la lecture de leur vie ; le repentir qui purifie l’âme ; la communion au corps et au sang de Dieu qui alimente à la fois l’âme et le corps. Offre-lui encore quelques promenades au sein de la Création, que l’incroyant appelle Nature, et où l’on rencontre le Créateur. Donne-lui de la beauté, de la bonté, de la vérité et un sain rythme de fréquentation du Christ.

(a.p. M.-A.)